Le média « Femmes d’Afrique Magazine » a procédé à la remise officielle des brevets aux participants à la formation sur la photographie organisée fin juillet dernier à Kinshasa durant 3 jours à 10 jeunes femmes et hommes à Sultani Hôtel. Les responsables du magazine en ont profité pour présenter la nouveau numéro également lors de cette cérémonie.
C’est dans ce souci que Christelle Mpongo, l’éditrice de Femme d’Afrique magazine a mis sur pied ce projet qui d’ailleurs vise d’abord l’autonomisation et ensuite prone le leadership féminin :
« Nous nous sommes engagés dans ce combat en vue d’aider les femmes à se prendre en charge pour en faire des veritables leaders dans ce secteur. Et de poursuivre: » le pari est de faire bénéficier ce projet d’intérêt commun à d’autres jeunes filles sur toute l’étendue du territoire congolais. » Du haut de la tribune, Christelle Mpongo a profité de l’occasion pour lancer un appel vibrant à toutes les personnes de bonne volonté pour poursuivre la marche déjà commencé.
Un métier à part entier qui peut générer des revenus pour une auto-prise en charge particulièrement pour les femmes qui raffolent de la photographie et aiment bien se faire photographier en tout cas ce que pense le Représentant du ministre de la jeunesse, le Directeur du cabinet intérimaire, le professeur Vangi. Il n’a pas caché sa satisfaction face à ce projet ambitieux qui d’ailleurs encourage son initiatrice.
Une reconnaissance qui va à l’endroit de l’ensemble de l’équipe de Femme Afrique Magazine et son partenaire, l’Ong Kivuvu ya nkento.et saluée par la présidente de l’Union Congolaise des Femmes des Médias (Ucofem), Rose Masala, promotrice du leadership féminin des femmes des médias.
Elle était aussi témoin de ce double événement au côté de sa jeune sœur. Elle, s’est Christiane Ekambo, éditrice du journaldesnations.net et coordinatrice du Cadre permanent pour l’intégration du genre dans les médias (CPIGM). Elle a qualifié cette formation en photographie qui donne une valeur ajoutée à la performance de la femme pour son autonomisation.
A l’obtention de leurs brevets de participation, une des bénéfliciaires de ce formation n’a pas caché sa satisfaction: « Femmes d’Afrique magazine est entrain de renverser les stéréotypes longtemps ancré dans notre société. Tant que le travail sera attribué à l’être humain, la femme en fera aussi partie de cette main d’oeuvre. On n’a pas besoin du sexe mais plutôt du cerveau », a-t-elle confié.
Un événement qui s’est clôturé par la présentation du nouveau numéro de Femme d’Afrique magazine.